A mi-chemin, mes yeux toujours dans les siens, mon pouce se mettrait à masser l’intérieur de son coude, ne laissant aucun doute quant à mes intentions.
Arrivée au bout de son chemin, ma main ramènerait son poignet à ma bouche,
Mes lèvres s’amuseraient là ou son sang affleure.
L’autre main sur sa hanche, ma tête reprendrait sa posture habituelle et, de ma bouche malicieuse, sortiraient les quatre mots de sa punition
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